samedi 11 avril 2009

Le fou de la légion étrangère

Mardi 7 avril, une jeune recrue de la Légion étrangère assassine son sergent, un camarade, un soldat tchadien et un paysan, dont il a volé le cheval. Le jeune homme a 27 ans et est dans la Légion depuis deux ans. Son nom n'est pas communiqué. Il se plaignait de troubles psychologiques et d'une baisse de moral l'année dernière à Djibouti, aussi, il a deserté en Ethiopie, ce qu'il lui a vallu 30 jours de sanction. Après huit mois de repos, les médecins avaient jugé favorables ses aptitudes pour revenir dans le service. De plus, il s'est porté lui-même volontaire pour opérer au Tchad dans le 2ème Régiment Etranger d'Infanterie. Son sergent s'était porté garant pour l'aider à reprendre les missions. Seulement, après une dispute avec ses camarades, ce jeune brésilien est allé prendre son arme pour réaliser son oeuvre dramatique... Depuis mercredi, l'armée française tente de le retrouver. Il est probablement caché dans les montagnes.

La Légion Etrangère, créée par Louis-Philippe en 1831, a une vocation d'ouverture aux étrangers, aux jeunes hommes ayant une personnalité violente et aggrésive, et permet donc à ces hommes de trouver un but et un travail dans l'armée française. A travers un entraîenement intensif voir même excessif, la Légion se veut être une troupe d'élite. En effet, elle a sû montrer sa force dans les situations les plus dangereuses et les plus risquées. C'est pour celà que l'armée américaine faisait l'éloge de la Légion et lui rendait hommage pour le courage de ses hommes. Mais l'accident du jeune légionnaire brésiliens est un fait qui est arrivé plus d'une fois dans le passé. Ce phénomène s'appelle la "soudanite", lorsqu'un soldat "perd les pédales". Le nom vient des colonies, où les hommes perdaient la tête alors qu'ils combattaient sous un soleil de plomb en Afrique, ou par les maladies. L'ouverture de la Légion peut être remise en cause, il faudrait donc que les jeunes qui s'engagent ce fasse suivre par un médecin et que leurs aptitudes physiques et psychologique soit en accord avec les critères de recrutement.

La piraterie dans les eaux somaliennes


Un an après la prise par les pirates somaliens du bâteau de luxe Le Ponant, ils ont fait une nouvelle victime : le bâteau de plaissance Le Tanis avec à son bord quatres adultes et un petit garçons de trois ans. Les otages se sont faits prendre d'assaut par cinq pirates la semaine dernière. Hier, le 10 avril, les commandos marines de la Marine Nationale ont réussi à neutraliser l'aggresseur. Au bilan : deux morts et trois prisonniers du côté pirate, et le père de l'enfant assassiné. Le ministre de la défense Hervé Morin proposait une rançon aux pirates, mais ces derniers n'ont rien voulu entendre. 

Ces actes de piraterie dans les eaux somaliennes se font de plus en plus nombreux et la peur s'installe, autant pour les cargos et les bâteaux de plaisances que pour les militaires. La piraterie somalienne est devenue une organisation de mieu en mieu organisée. En effet, les années précédente, les pirates ne s'aventuraient pas au large avec leur hors-bords, car le carburant leur manquerait et ils seraient trop facile de les repérer. Maintenant, ils disposent de ce que l'on appelle "bâteaux mer", qui sont en fait d'anciens bâteaux de pêche capturés ou rénovés qui serviront au ravitaillement en essence et en armes. En effet, les pirates sont munis de AK-47 et de lances roquettes. Ces bâteaux sont la couverture parfaite pour la piraterie car ils sont difficiles à identifier. Les armes sont cachées et ils naviguent dans les zones de pêches, ce qui enlèvent tous soupçons. Donc, les petits bâteaux des pirates, qui se font passés pour simples pêcheurs, opèrent avec ces "bâteaux mer", ce qui leur permet d'attaquer de plus en plus loin des côtes. La Marine Nationale a déjà décidé que chaque convoi devait être accompagné par des bâtiments de guerre et que les lances à incendie des bâteaux devaient être actionnées. Ceci permet de repouser et de dissuader les pirates de monter à l'assaut. Seulement, le problême est l'identification des cibles, car elles se font de plus en plus discrètes. Les missions des commandos marines étant très délicates, il ne faut cepandant pas relacher la lutte contre la piraterie qui se place au même niveau que le terrorisme

dimanche 5 avril 2009

Human trafficking issues and the Pope

Human trafficking is a very important current problem. Last week, more than 200 migrants heading for Europe drowned off the LIban coast after their overloaded boat capsized. In Italy, the problem of illegal immigration reaches its peak. 24 Afghan children aged between 10 and 15 were found by police living in sewer tunnels beneath Ostiense railway station. There are an estimated 1,100 foreign street children in Rome. mostly Afghan, North African and Romanian. Today, Pope Benedict XVI called for urgent global action to halt human trafficking. He advices co-ordinated strategies between the EU and African countries as well as "the adoption of adequate humanitarian measures". According to him, African problems would end only when African countries "will free themselves from misery and war". the Pope also called nations who haven't done so (such as USA, Russia, CHina and India) to sign the United Nations anti-landmine convention.


This article rose a lot of questions about the world's situation as well as the role of religion, and more particularly the one of the Pope. It is true that human trafficking is a real and very important problem. If misery and war ended in Africa, African countries would be more able to rebuild their economy as well as their poplation's lives. Solutions need to be found. If we want to tackle the issue from its sources, the "rich countries" could give more money to African countries (as they don't give all the money they agreed to, even if they are in a period of economic crisis). I think that the North countries try to resolve these problems with the G8 and J8 for example. Unless the J8 is only a pretext to show their preocupations and show that they are interested in what young people think about global issues. However, I think that these questions are more and more talked about recently.
Nevertheless, the article focuses more on the Pope. This makes me go to other questions rose by this article. Indeed, the Pope seems to recommand and call nations and states about policies they should take in order to solve theses problems. Being French (with the separation of the church from the state), I'm wondering to what extent does the Pope have an influence on the states. Unless, the Pope having a huge influence on the population and especially young people, this could lead to a pression on states from the population.
This makes me wonder if it is a good thing. Indeed, if the Pope (as anyone else) can have an influence on the states' policies in order to improve such bad situations as we read above, it is great. But what the Pope is saying in this article is quite contradictory with what he said some weeks ago about condoms in Africa (use of condoms gets Aids problem worse, and that therapeutic abortion is a wrong thing) for example. It seems to me quite difficult to promote an improvement of African countries' situation if you encourage them not to protect themselves against health problems such as AIDS or having a baby at 9 years old. I know that attacking the Pope isn't really well seen, but I think that , as politicians'reactions showed it, he should be attacked as anyone else when he becomes too involved in such problems that what he says can be dangerous for other people. Then, it is a question of point of view and humanitarian security rather than a question of religion. However, as he seems to have an influence on people, whar he says should be carefully taken into account.

samedi 4 avril 2009

L'OTAN vieilli, mais prête à se relancer

1949, l'OTAN est crée par les américains pour se protéger et protéger les alliés d'une éventuelle attaque de l'URSS et de ses satellites. Seulement, la menace bipolaire a disparu aujourd'hui. Un nouveau contexte international est apparu : 1990-2001, les USA et son hyper-puissance. Le monde "unipolaire" est naît, où seule cette puissance avait un réel poids sur les relations internationales. Mais depuis les attentats du 11 septembre, la menace terroriste se faisait de plus en plus forte. Dans ce nouveau contexte, l'OTAN n'a pas forcément trouvé son utilité, car le conflit en cours n'était pas celui auquel elle était destinée. Maintenant, elle se refait du sang neuf, pour mieux agir avec les nouvelles menaces, que sont le terrorisme transnational (les attentats de Londres), la menace nucléaire (Iran et Corée du Nord), et la cybercriminalité (arnaques et piratages de systèmes informatiques).

A l'ordre du jour, on peut dire que L'Otan s'est remis de bon pied. Avec le retour de récent de la France (qui l'avait quittée en 1966) et 26 pays membres (dont 10 ex-satellites de l'URSS parmi les 21 pays européens), l'organisation militaire fait entendre sa vocation internationale. Elle est présente notamment en Afghanistan et participe activement aux combats. Aussi, sa puissance diplomatique permettra de peser sur les désicions militaires et les accords entre les pays membres, tous dotés du droit de veto, dans le but de limiter l'influence d'un seul pays. Comme exemple des alliances entre armées, des exercices sont mis en place pour échanger les techniques et forger les relations.  La 27ème brigade d'infanterie de montagne est allée en Norvège se former pendant une semaine au combat (voir la vidéo) sous le nom "Cold Response", libellée OTAN. Ces formations entre armées des états membres premettront une meilleure coordination sur le terrain, ainsi qu'une meilleure éfficacité. L'OTAN encourage ces exercices dans le but d'avoir à nouveau, un sens dans les conflits actuels.

Cet article comme extension

dimanche 15 mars 2009

Madagascar 's referendum : sould the president stay in power ?




With President Ravalomanana, re-elected for a second mandate up to 2011, Madagascar has been going into globalisation. Multinational corporations including Rio Tinto and Exxon Mobil have arrived, pouring millions of dollars into government coffers. The President seems to have been looking more for its own interest than for those of its country. The internatinal investments, then, didn't improve the situation of the population (70% of the nation's 20 million population still live on incomes of less than $2 (£1.40) a day). The growing resentment reached its peak when the government leased one million acres in the south of the country to the Korean firm Daewoo for intensive farming. This was seen as a betrayal. Growing manifestations were lead, unfortunately ending with violence on both sides. The opposition is lead by Mr Rajoelina, former mayor of the capital, dismissed in february. A part of the army also mutined after it was ordered to them to shoot in the crowd (about 25 death or more), not backing up anyside of the conflict but wanting to bring calm and order. Madagascar population isn't used to such a violence. The opposition is calling for Ravalomanana to resign. A referundum shold held these days. The econoic situatin of Madagascar went even worse since the beginning of the political crisis.





The political struggle in Madagascar is worrying, as the high level of violence in an usual peaceful nation illustrates it. We don't really know Mr Rajoealani's projects. Indeed, for some people, it seems that Rajeolani is following th e same path as Ravalomanana. Another dictator (backed up by "political heavyweights from teh country's past") should replace the actual one ? MAdagascar political instability highlights some wrong choices of past and present history. Indeed, one cause of the hard situation could colonialism and the way in which the country was decolonised. It seems like there is still a kind of neocolonialism link with France, as "
former colonial power France has also been trying to use its influence". It also highlights the difference between the "rich" and "poor" countries and globalisation effects. It seems that Madagascar's economic situation didn't really improve despite foreign investments. Globalisation could be seen as weakening economies which are already in a "bad shape". However, it can also be argued that the situation depends on the person who's got power. If Ravalomanana hadn't served his own interest, foreign investents might have helped the population. It is quit difficult to distinguish "rich" and former colonial powers fault from the one of the inhabitants of the country. Both are closely linked and mixed, and often result from "wrong choices" made by politicians. The past can't really be "re-modeled", so it is the present situation that should been handled. The only hope is that not too many people die for that.


http://news.bbc.co.uk/2/hi/africa/7935682.stm






jeudi 12 mars 2009

La corée du Nord a planifié un lancement d'un satellite pour le moins douteux...

Il y a peu de temps, la Corée du Nord a émi la planification d'un lancement de satellite de télécommunication. Aucune date n'a été fixée, mais d'après le ministre des transport sud Coréen, le tir devrait avoir lieu au alentour du 15 avril, date anniversaire de la fondation de la Corée du Nord par Kim Il Sung. L'état proclame que ce lancement n'a aucune fin militaire, il va s'en dire que les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud sont sous tension. En effet, déjà en 1998, le regime communiste avait lancé un missile balistique en direction du Japon. Heureusement, le projectile a survolé le pays et a fini sa course dans L'Océan Pacifique. Il y a très peu de différence entre le lancement d'un missile longue portée et d'un satellite d'un point de vue technique. L'ONU se méfit des propos tenu et le Japon n'hésitera pas à détruire quelquonque fusée qui traverserait l'île. Seulement, une intervention dans le lancement ou la destruction du soit disant satellite fera l'objet d'une déclaration de guerre pour la Corée du Nord.

Ce lancement est à prendre avec le plus grand sérieux. Les trois pays mentionnés ont demandé à Pyongyang de stoper ce projet, car la Corée du Nord posséde l'arme nucléaire, et la peur est grandissante, surtout quand un pays de ce genre peut en faire usage. En plus de la possibilité qu'un missile soit lancé, la menace de guerre est d'autant plus importante.Mais s'il venait à découvrir les menaces que ce projet représente, toute aide apporté au pays pour retirer les installations nucléaire destinées à l'armement ainsi que d'autre subventions, les menaces risques de se faire dans l'autre sens. Depuis 2003, la Corée du Nord est en proie à de lourdes négociations pour enlever le nucléaire, en échange d'aides économiques et un gage de sécurité. Mais il est très peu probable que ceci soit pris en compte, étant donné que la Corée du Nord peut garantir sa propre sécurité avec sa propre armée... 
 

dimanche 8 mars 2009

Le premier ministre zimbabwéen victime d'un accident de voiture

(cet article pourrait vous aidez à comprendre un peu la situation, bien qu'il soit de février)

Vendredi dernier, le premier ministre Morgan Tsvangirai a été victime d'une collision entre son véhicule et un camion. L'accident lui a causé quelques blessures, mais sa femme n'en a pas réchappé, elle est morte sur le coup. Cet accident, qui pourrait n'être que le fruit d'un hasard funeste, divise encore plus le pays entre les deux parties politiques majeurs, le  MDC (Mouvement pour le changement démocratique, parti de Morgan Tsvangirai) et celui du président Robert Mugabe : L'Union nationale africaine du Zimbabwe-Front Patriotique. En effet, bien avant ce drame, le premier minisitre a été la cible de plusieurs tentatives d'assasinat, vraisemblablement, par son propre parti. Il est bon de rappeler qu'il était le rival du président Mugabe, à qui il a prêté serment de le servir en tant que premier ministre, poste autrefois inexistant. La thèse de l'assasinat des deux côtés ne semble pas inévitables. Il est peut être possible que le MDC, qui aurait perçu son leader comme un traitre, aie contribué à cet accident. Ou bien que Robert Mugabe, en tant qu'éternel rival, ne voulait l'éliminer. Une enquête a été ouverte, mais chaque parti fait en paralelle la sienne, pour essayer de dénoncer l'adversaire.

Ce "simple" accident de voiture montre bien à quel point le Zimbabwe est encore un pays fragile d'un point de vue diplomatique. Le peuple va en être aussi la victime, car la zizanie reignera encore. Les partisans du premier ministre denonceront ses adversaires, tandis que ces derniers clameront leur innocence. En guise de sécurité et d'apaisement, le président et sa femme sont venus à sont lit d'hôpital au Bostwana. L'international est aussi sous tension, car il ne sagit pas de laisser ce pays sombrer dans une possible guerre civil. L'Angleterre par exemple présente ses condoléances, mais cependant, surveille la situation au cas où elle déraperait. Le pays étant gravement touché par la crise et le choléra, cet accident ne fait qu'augmenter les tensions