mardi 2 juin 2009

Le mime Marceau fait son musée

Le mime Marceau, qui incarnait le personnage de Bip sur scène, personnage naïf, drôle et mystérieux, dont seul les gestes et les traits de visages étaient le langage, fait toujours l'objet de fascination et d'imagination. Sa mort en 2007 fut une tragédie dans le monde de l'art dramatique. Mais ce qui reste de lui, son oeuvre, sa peinture, ses dessins, risques de séparpiller dans les ventes aux enchères. 
Le 27 mai, à l'hôtel Drouot, une ventes proposant plus de 900 objets appartenant à Marcel Marceau.  Accablé d'impôts, il fit une majeur partie de sa carrière aux Etats-Unis. Mais après a mort, il laisse derière lui sa dette en héritage. Ses deux filles observaient la vente. Les objets se vendaient aux alentours de €200 et de € 11 000.
Mais l'association "Un musée pour Bip" tente de conserver ce patrimoine, dans le but de garder le souvenir d'un grand atriste en vie. Aussi, celà peut aider ses enfants dans le remboursement de la dette, avec les fonds récoltés et aussi par la visite d'un futur musée.

Une vidéo d'un de ses sketchs, ici, le Danseur de Tango

USA : Sonia Sotomayor, la première juge hispanique à être nomminée à la Cour Suprême


Sonia Sotomayor, juge américaine d'origine hispanique, a été nommée par Barack Obama à la Cour Suprême. Il ne reste plus qu'à obtenir l'aval du Sénat, ce qui selon les journaux ne devrait pas être très difficile vu le raport de force favorable aux démocrates. En plus d'être une pionière en tant que première femme hispanique à faire partie de la Cour suprême, Sonia Sotomayor a une brillante carrière. Coup de publicité pour la côte de popularité de Barack Obama et son parti, en touchant la minorité la plus grande mais sous-représentée des États-Unis, ou réelle volonté "d'adapter les grandes institutions à la mixité culturelle" ? Un peu des deux selon l'article. Cependant, en dehors de ces questions de médiatisation, Sonia Sotomayor est "une juriste et une magistrate qui pourrait être un extraordinaire juge à la Cour suprême." Alors peut-être ne faut-il pas se demander quelles sont les motivations de Barack Obama mais plutôt regarder quelles sont les avantages d'une telle nommination pour la justice et donc pour les citoyens qui en bénéficient. Sans oublier bien sûr
le fait que cette nommination est un pas en avant vers une meilleure représentation et prise en compte de la minorité hispanique (je l'espère).

Quelques mots sur Sonia Sotomayor :
"Dans ses décisions, Sonia Sotomayor a constamment affiché l'empathie que Barack Obama souhaite voir chez un juge. Elle écoute attentivement et a souvent tranché en faveur de personnes victimes de discrimination et d'autres catégories de personnes qui se font de plus en plus envoyer promener par les tribunaux fédéraux. Elle n'a montré que peu de patience pour les obstacles procéduraux que les juges conservateurs utilisent pour fermer la porte des tribunaux aux personnes dont les droits ont été violés. L'opposition commence déjà à la dépeindre comme une idéologue gauchiste, mais ses décisions soigneusement motivées, basées sur les faits, indiquent qu'il n'en est rien."

dimanche 10 mai 2009

Benoit XVI en pèlerinage

Sa Sainteté le pape Benoit XVI, Joseph Ratzinger de son vrai nom, est bel et bien l'objet de polémiques et des vifs débats sur ses propos. La polémique du préservatif étant la plus piquante, celle qui a fait déposer la honte sur de nombreux chrétiens, et qui a accentué les dires et les violences "anti-papes" et "anti-catholiques". Mais Sa Sainteté ne se laisse pas abattre, et laisse son intelligence et sa foi le guider. Si bien qu'il est maintenant en pèlerinage, en Terre Sainte, Terre où les trois grandes religions monothéistes sont apparues. Il vient en tant que messager de la paix entre les religions, et est déterminé à ouvrir le dialogue avec les autorités musulmanes. Sa visite en Jordanie, où il a été accueilli par le prince Abdallah II et sa famille, est l'occasion de renouer avec l'Islam et de prôner une entente cordiale entre musulmans (98% du pays) et catholiques. En effet, les fidèles de la Bible ne jouissent pas des même privilèges que les musulmans en Europe. Cette discrimination va être tirée au clair, et semble déjà s'améliorer. En effet, une école catholique est en construction, et dont la première pierre vient d'être bénie par Benoit XVI. Lors de son voyage, le pape a voulu réconcilié avec le peuple juif. Sur le mont Nebo, lieu où Dieu a montré à Moïse la Terre Promise, Sa Sainteté entend bien montrer le liens entre le Judaïsme et le Christianisme. En tant que messager de la paix, Benoit XVI s'est rendu dans la plus grande mosquée de Jordanie, la mosquée al-Hussein Bin-Talal pour dénoncer le fanatisme religieux qui déchire le monde musulman. Il y dénonce l'incompréhension des textes, les liens faciles qui suscitent la haine et "l'embrigadement" des jeunes dans ce fléaux qu'est l'extrémisme. Il le dit lui même, Benoit XVI voue un grand respect pour la religion musulmane, et il profite de ce pèlerinage pour le dire en face, et montrer sa bonne foi et sa simplicité. Bien que les risques soient nombreux, Sa Sainteté ne renonce pas, continue son combat pour la paix entre les trois religions du Livre, et qui peut être, amènera à des accords et une bonne entente.

Benoit XVI est le mal aimé. Peut être à cause de sa discrétion. Mais il reste un grand philosophe et théologien, un grand érudit, et dont les textes religieux n'ont plus de secret pour lui. Respecté par son intelligence, il ne prend pas peur à dire ce qu'il pense, et entend bien allé au delà des risques. Bien qu'il ne soit pas aussi "show biz" que Jean Paul II, les foules perçoivent sa voix comme un message rempli de raison, et qui montre un long travail. Lui même profondément honteux des actes de l'Allemagne, c'est pour cela qu'il entend renoué les liens avec le peuple. Ayant en horreur les polémiques de la presse et l'abondance d'information plus ou moins sans fondements sur internet, il laisse son intelligence et son travail éclaircir la vérité. En espérant que son pèlerinage en Terre Sainte changera les esprits, fera prendre conscience des dangers du fanatisme en pays musulman, et que le dialogue avec Israël au sujet de la Palestine aboutira à quelque chose de concret.


(un porfolio en supplément)

Bordeaux et la mémoire de l'esclavage


Bordeaux, deuxième port négrier de France pendant environ 2 siècles, accueille la cérémonie de la journée nationale de commémoration de la traite des noirs. Une exposition permanente retraçant des chapitres de l'époque qui a permis le développement économique de la ville est inaugurée à cette occasion. Entre 1672 et 1837, Bordeaux fut le point de départ d'environ 500 expéditions maritimes qui transportèrent environ 130 000 esclaves d'Afrique aux Antilles. Selon les critiques, Bordeaux "regarde l'histoire en face sans pour autant faire acte de repentance". Ce n'est qu'en 1999 qu'une "politique de la juste mémoire" fut engagée par le maire de Bordeaux, Alain Juppée, en proposant une exposition temporaire sur l'esclavage. En 2006, un rapport a été commandé au comité de réflexion sur la traite des noirs à Bordeaux. Ces gestes de mémoire seraient destinés à inscrire dans la mémoire de Bordeaux sa relation avec l'esclavage".
L'association DiversCités qui a longtemps accusé la ville d'oublier une partie de son passé, est contente de "ce pas positif mais espère toujours l'édification à Bordeaux d'un mémorial de la traite des noirs.

Cet article pose la question du devoir de mémoire, question au cœur d'un des multiples débats actuels. En effet, dans quelles mesures doit-on se souvenir des horreurs du passé et doit-on se sentir coupable des actions commises par nos "ancêtres" ? Doit-on seulement se souvenir ou également reconnaître et se repentir ? Mais se souvenir n'est-ce pas déjà reconnaître les faits et se repentir quelque peu ? Toute action de la part des descendants des oppresseurs ne serait-elle pas vu du côté négatif de "l'action pour se donner bonne conscience ? C'est important de se poser des questions quant à notre comportement vis à vis de ces zones noires de l'histoire. Cependant, si on se demandait aussi ce qu'en pensent les descendants des opprimés ? Comment ils vivent cela quotidiennement. Y pensent-ils de façon inconsciente, consciente, seulement à certains moments ? Ces questions qui touchent des sujets du passé par rapport à la mémoire collective et privée, ont également un lien avec des sujets du présent et du futur. D'une part, car ces problèmes sont d'actualité et continueront de l'être pour un long moment, et d'autre part car elles rejoignent, selon moi, des questions que l'on peut se poser dans les relations entre "pays riches" et "pays en voie de développement". En effet, existe-t-il un devoir de les aider car ils ont soufferts par la faute des "pays riches" auparavant ? S'agit-il seulement d'entraide internationale ? Comment est perçue cette "aide ? Est-ce vraiment une aide efficace ou juste de la parlote? ... Je pense que ces questions sont intéressantes à se poser afin de trouver des réponses pour soi-même, mais je doute qu'il soit possible de trouver des réponses de "vérité générale" applicables à tous. Mais cela vaut le coup d'essayer et du moins de garder ce type de réflexion dans un coin de sa tête afin de ne pas oublier (le fameux devoir de mémoire!).
En dehors de cette question (sur laquelle je me suis peut être trop étendue), l'article parle également de la journée nationale de la traite des noirs. J'avoue ne pas en avoir entendu parler beaucoup. Cela devrait-il être plus médiatisé ?

jeudi 23 avril 2009

Kaboul en état de siège

Depuis sept ans, la capitale afghane est réduite à l'état de siège, et il semblerait que le temps s'est arrêté. En effet, la ville se trouve entourée de bunker, de nids de mitrailleuses, de dédales et de barricades, et de murs de béton, dans le but de protéger la ville des attaques des talibans. Cependant, les attaques suicides (ministère de la justice entre autre), les voitures piégées et les bombardements se multiplies et les colonels afghans dénoncent le manque de communication entre l'armée afghane, les occidentaux et les talibans eux-mêmes. La ville est encerclée de montagnes enneigées, et est donc vulnérables aux attaques venues des hauteurs. Les armées française et américaine ont été déployées dans l'optique de rétablir "la paix" entre islamistes extrémistes et le gouvernement afghan. Malheureusement, ce dernier semble être corrompue, ce qui marque encore plus profondement le manque de confiance. De plus, la population ne se sens pas à l'aise avec la présence d'étrangers dans la capitale. Chaque individu est obligé de rester cloitré, les autorisations de sortie sont difficiles à obtenir, et les rues sont contrôlées par l'armée et la police afghane. Le moyen age semble revenir. Des troupeaux d'animaux traversent sans cesse la ville, les bâtiments détruits restent dans le même état, les routes boueuses sont quasi-impraticables. La situation éconimique du pays ne fait qu'aggraver les choses.

Là où l'on est plus incommoadé des bombardements et des taches de sang dans les rues, Kaboul resemble bien à la ville siège des temps des châteux forts. Tout y est blindé, bétonné. Les gouvernements ocidentaux ont une volonté d'aider les afghans financièrement, mais les élites de la nation ne croient plus en cette "aide". Ils ont démontré que l'argent investie dans l'aide humanitaire et le retablissement de la paix n'a pas été dépensé dans sa totalité. Bien que les armées sur le terrain instruissent l'Armée Nationale Afghane (ANA), un manque de compréhension et de coordination dans les opérations montrent encore les faiblesses des forces militaires face à des adversaires experts en attaques rapides dû à leur connaissance du terrain montagneux, mais aussi aveuglés par leur foi et leur mission divine qui consiste à expulser l'étranger de leur pays. Le troupes sur place se verront renforcées de 4000 soldats américains d'ici fin 2009, et bien qui les prises de territoires et les avancées se font plus nombreuses, la guerre ne semble pas être gagnée...

un complément video pour comprendre

lundi 13 avril 2009

Prix Priztker 2009

L'architecte suisse Peter Zumthor a reçu le prix d'architecture Pritzker 2009. Une cérémonie de remise du prix aura lieu à Buenos Aires le 29 mai. Le prix s'accompagne de $100.000. Zumthor est l'auteur de nombreuses oeuvres architecturales, pour la plupart se trouvant en Suisse, ayant "une force intemporelle" ainsi qu'un aspect poétique important selon Mr Pritzker et de nombreuses critiques.
La réalisation la plus connue de Peter Zumthor sont les Thermes de Vals en Suisse.



Autres principales réalisations architecturales :
Peter Zumthor a étudié au Pratt Institute à New York, depuis 1996 il est professeur à l'Académie d'architecture à l'Université de la Suisse Italienne à Mendrisio.

Le pris Pritzker est connu pour être également nommé "le Prix Nobel de l'architecture". Prix crée en 1979 par Mr Pritzker et remis chaque année par la fondation Hyatt. Il récompense le travail d'un architecte vivant ayant démontré une combinaison de talent, de vision, d'engagement, à travers l'art de l'architecture qui ont eu un apport significatif à l'humanité.

Le prix Priztker de l'année dernière a été décerné à l'architecte français Jean Nouvel.

Les atouts de la France. (2)



Voici la suite tant attendue =)

   La crise économique actuelle affecte toutes les puissances économiques Européennes, même la France. Cependant, cette crise permet aussi de repérer quels sont les  nombreux atouts de la France par rapport aux autres pays, et pourquoi la France devrait devenir, à l'horizon 2035, la première puissance économique Européenne.

4.  L'agriculture : En effet, l'agriculture et l'industrie agroalimentaire françaises sont les plus performantes du monde. La France possède une situation climatique exceptionelle qui lui permet d'être la deuxième puissance agricole mondiale. Ses points forts sont la production de blé (le Bassin Parisien est une des plus grande plaines à blé du monde), de viande, de lait et de fromages, de fruits et de légumes et surtout de vin (les exportations de vins français représentent aujourd'hui 17% des exportations totales de vin dans le monde).

5. Les Multinationales françaises : Des 500 premières entreprises mondiales recensées par le magazine "Fortune", 39 sont françaises, ce qui place la France au deuxième rang derrière les USA. La France compte un nombre important de leaders mondiaux dans leurs secteurs, tels Accor, EDF, GDF, l'Oréal, LVMH, Saint Gobain...
  De plus, la France est un pays ou le capitalisme familial reste majoritaire. En effet, 60% des valeurs cotées à Paris sont détenues par des familles plus attachées au bien-être de leurs entreprises et de leurs employés qu'aux rendements à court terme (moins de pression de la part d'actionnaires).

6. Le luxe à la française : Dans un classement réalisé par "Interbrand", Louis Vuitton s'impose nettement comme la première marque mondiale de luxe. Cinq marques françaises représentent 53 % de la valeur totale des quinze premières marques de luxe, contre 28% pour les marques italiennes. Derrière Vuitton, les premières places du palmarès sont tenues par Gucci (groupe PPR), Chanel, Rolex tandis que le groupe familial Hermès s'installe à la cinquième place. Depuis un an, l'action de ce groupe a progressé d'environ 16%, alors que l'indice CAC 40 a reculé de 35% sur la même période. Les ventes de ses mythiques sacs Kelly et Birkin (à partir
de 4300 euros pièce) ont progressé de 14 % au dernier trimestre 2008.

(Le magasin LV sur les Champs-élysées à Paris, le plus important magasin du groupe LVMH)


    Ces atouts démontrent que la situation de la France n'est pas désespérée, cependant le gouvernement doit obligatoirement se rendre compte de ces atouts et de faire en sorte que ceux-ci deviennent encore plus bénéfiques pour la France, particulièrement l'agriculture, qui, en effet, est absente de la plupart des plans de relance du gouvernement, alors que son solde commercial a été positif en 2008 à plus de 9 milliards d'euros (automobile : -3.4 milliards d'euros). De plus, l'agriculture est une activitée du futur, avec environ 8 milliards d'habitants à l'horizon 2050. En revanche, concernant le luxe, personne ne doit s'inquiéter car, bien que ce secteur soit touché par la crise économique actuelle, l'industrie du luxe va bénéficier de l'enrichissement de nombreux Indiens, Brésiliens et surtout Chinois, dont les "High Net Worth Individuals" s'élèvent déjà aujourd'hui à plus de 415 000 personnes, soit plus que le Brésil, l'Inde et la Russie réunies.





samedi 11 avril 2009

Le fou de la légion étrangère

Mardi 7 avril, une jeune recrue de la Légion étrangère assassine son sergent, un camarade, un soldat tchadien et un paysan, dont il a volé le cheval. Le jeune homme a 27 ans et est dans la Légion depuis deux ans. Son nom n'est pas communiqué. Il se plaignait de troubles psychologiques et d'une baisse de moral l'année dernière à Djibouti, aussi, il a deserté en Ethiopie, ce qu'il lui a vallu 30 jours de sanction. Après huit mois de repos, les médecins avaient jugé favorables ses aptitudes pour revenir dans le service. De plus, il s'est porté lui-même volontaire pour opérer au Tchad dans le 2ème Régiment Etranger d'Infanterie. Son sergent s'était porté garant pour l'aider à reprendre les missions. Seulement, après une dispute avec ses camarades, ce jeune brésilien est allé prendre son arme pour réaliser son oeuvre dramatique... Depuis mercredi, l'armée française tente de le retrouver. Il est probablement caché dans les montagnes.

La Légion Etrangère, créée par Louis-Philippe en 1831, a une vocation d'ouverture aux étrangers, aux jeunes hommes ayant une personnalité violente et aggrésive, et permet donc à ces hommes de trouver un but et un travail dans l'armée française. A travers un entraîenement intensif voir même excessif, la Légion se veut être une troupe d'élite. En effet, elle a sû montrer sa force dans les situations les plus dangereuses et les plus risquées. C'est pour celà que l'armée américaine faisait l'éloge de la Légion et lui rendait hommage pour le courage de ses hommes. Mais l'accident du jeune légionnaire brésiliens est un fait qui est arrivé plus d'une fois dans le passé. Ce phénomène s'appelle la "soudanite", lorsqu'un soldat "perd les pédales". Le nom vient des colonies, où les hommes perdaient la tête alors qu'ils combattaient sous un soleil de plomb en Afrique, ou par les maladies. L'ouverture de la Légion peut être remise en cause, il faudrait donc que les jeunes qui s'engagent ce fasse suivre par un médecin et que leurs aptitudes physiques et psychologique soit en accord avec les critères de recrutement.

La piraterie dans les eaux somaliennes


Un an après la prise par les pirates somaliens du bâteau de luxe Le Ponant, ils ont fait une nouvelle victime : le bâteau de plaissance Le Tanis avec à son bord quatres adultes et un petit garçons de trois ans. Les otages se sont faits prendre d'assaut par cinq pirates la semaine dernière. Hier, le 10 avril, les commandos marines de la Marine Nationale ont réussi à neutraliser l'aggresseur. Au bilan : deux morts et trois prisonniers du côté pirate, et le père de l'enfant assassiné. Le ministre de la défense Hervé Morin proposait une rançon aux pirates, mais ces derniers n'ont rien voulu entendre. 

Ces actes de piraterie dans les eaux somaliennes se font de plus en plus nombreux et la peur s'installe, autant pour les cargos et les bâteaux de plaisances que pour les militaires. La piraterie somalienne est devenue une organisation de mieu en mieu organisée. En effet, les années précédente, les pirates ne s'aventuraient pas au large avec leur hors-bords, car le carburant leur manquerait et ils seraient trop facile de les repérer. Maintenant, ils disposent de ce que l'on appelle "bâteaux mer", qui sont en fait d'anciens bâteaux de pêche capturés ou rénovés qui serviront au ravitaillement en essence et en armes. En effet, les pirates sont munis de AK-47 et de lances roquettes. Ces bâteaux sont la couverture parfaite pour la piraterie car ils sont difficiles à identifier. Les armes sont cachées et ils naviguent dans les zones de pêches, ce qui enlèvent tous soupçons. Donc, les petits bâteaux des pirates, qui se font passés pour simples pêcheurs, opèrent avec ces "bâteaux mer", ce qui leur permet d'attaquer de plus en plus loin des côtes. La Marine Nationale a déjà décidé que chaque convoi devait être accompagné par des bâtiments de guerre et que les lances à incendie des bâteaux devaient être actionnées. Ceci permet de repouser et de dissuader les pirates de monter à l'assaut. Seulement, le problême est l'identification des cibles, car elles se font de plus en plus discrètes. Les missions des commandos marines étant très délicates, il ne faut cepandant pas relacher la lutte contre la piraterie qui se place au même niveau que le terrorisme

dimanche 5 avril 2009

Human trafficking issues and the Pope

Human trafficking is a very important current problem. Last week, more than 200 migrants heading for Europe drowned off the LIban coast after their overloaded boat capsized. In Italy, the problem of illegal immigration reaches its peak. 24 Afghan children aged between 10 and 15 were found by police living in sewer tunnels beneath Ostiense railway station. There are an estimated 1,100 foreign street children in Rome. mostly Afghan, North African and Romanian. Today, Pope Benedict XVI called for urgent global action to halt human trafficking. He advices co-ordinated strategies between the EU and African countries as well as "the adoption of adequate humanitarian measures". According to him, African problems would end only when African countries "will free themselves from misery and war". the Pope also called nations who haven't done so (such as USA, Russia, CHina and India) to sign the United Nations anti-landmine convention.


This article rose a lot of questions about the world's situation as well as the role of religion, and more particularly the one of the Pope. It is true that human trafficking is a real and very important problem. If misery and war ended in Africa, African countries would be more able to rebuild their economy as well as their poplation's lives. Solutions need to be found. If we want to tackle the issue from its sources, the "rich countries" could give more money to African countries (as they don't give all the money they agreed to, even if they are in a period of economic crisis). I think that the North countries try to resolve these problems with the G8 and J8 for example. Unless the J8 is only a pretext to show their preocupations and show that they are interested in what young people think about global issues. However, I think that these questions are more and more talked about recently.
Nevertheless, the article focuses more on the Pope. This makes me go to other questions rose by this article. Indeed, the Pope seems to recommand and call nations and states about policies they should take in order to solve theses problems. Being French (with the separation of the church from the state), I'm wondering to what extent does the Pope have an influence on the states. Unless, the Pope having a huge influence on the population and especially young people, this could lead to a pression on states from the population.
This makes me wonder if it is a good thing. Indeed, if the Pope (as anyone else) can have an influence on the states' policies in order to improve such bad situations as we read above, it is great. But what the Pope is saying in this article is quite contradictory with what he said some weeks ago about condoms in Africa (use of condoms gets Aids problem worse, and that therapeutic abortion is a wrong thing) for example. It seems to me quite difficult to promote an improvement of African countries' situation if you encourage them not to protect themselves against health problems such as AIDS or having a baby at 9 years old. I know that attacking the Pope isn't really well seen, but I think that , as politicians'reactions showed it, he should be attacked as anyone else when he becomes too involved in such problems that what he says can be dangerous for other people. Then, it is a question of point of view and humanitarian security rather than a question of religion. However, as he seems to have an influence on people, whar he says should be carefully taken into account.

samedi 4 avril 2009

L'OTAN vieilli, mais prête à se relancer

1949, l'OTAN est crée par les américains pour se protéger et protéger les alliés d'une éventuelle attaque de l'URSS et de ses satellites. Seulement, la menace bipolaire a disparu aujourd'hui. Un nouveau contexte international est apparu : 1990-2001, les USA et son hyper-puissance. Le monde "unipolaire" est naît, où seule cette puissance avait un réel poids sur les relations internationales. Mais depuis les attentats du 11 septembre, la menace terroriste se faisait de plus en plus forte. Dans ce nouveau contexte, l'OTAN n'a pas forcément trouvé son utilité, car le conflit en cours n'était pas celui auquel elle était destinée. Maintenant, elle se refait du sang neuf, pour mieux agir avec les nouvelles menaces, que sont le terrorisme transnational (les attentats de Londres), la menace nucléaire (Iran et Corée du Nord), et la cybercriminalité (arnaques et piratages de systèmes informatiques).

A l'ordre du jour, on peut dire que L'Otan s'est remis de bon pied. Avec le retour de récent de la France (qui l'avait quittée en 1966) et 26 pays membres (dont 10 ex-satellites de l'URSS parmi les 21 pays européens), l'organisation militaire fait entendre sa vocation internationale. Elle est présente notamment en Afghanistan et participe activement aux combats. Aussi, sa puissance diplomatique permettra de peser sur les désicions militaires et les accords entre les pays membres, tous dotés du droit de veto, dans le but de limiter l'influence d'un seul pays. Comme exemple des alliances entre armées, des exercices sont mis en place pour échanger les techniques et forger les relations.  La 27ème brigade d'infanterie de montagne est allée en Norvège se former pendant une semaine au combat (voir la vidéo) sous le nom "Cold Response", libellée OTAN. Ces formations entre armées des états membres premettront une meilleure coordination sur le terrain, ainsi qu'une meilleure éfficacité. L'OTAN encourage ces exercices dans le but d'avoir à nouveau, un sens dans les conflits actuels.

Cet article comme extension

dimanche 15 mars 2009

Madagascar 's referendum : sould the president stay in power ?




With President Ravalomanana, re-elected for a second mandate up to 2011, Madagascar has been going into globalisation. Multinational corporations including Rio Tinto and Exxon Mobil have arrived, pouring millions of dollars into government coffers. The President seems to have been looking more for its own interest than for those of its country. The internatinal investments, then, didn't improve the situation of the population (70% of the nation's 20 million population still live on incomes of less than $2 (£1.40) a day). The growing resentment reached its peak when the government leased one million acres in the south of the country to the Korean firm Daewoo for intensive farming. This was seen as a betrayal. Growing manifestations were lead, unfortunately ending with violence on both sides. The opposition is lead by Mr Rajoelina, former mayor of the capital, dismissed in february. A part of the army also mutined after it was ordered to them to shoot in the crowd (about 25 death or more), not backing up anyside of the conflict but wanting to bring calm and order. Madagascar population isn't used to such a violence. The opposition is calling for Ravalomanana to resign. A referundum shold held these days. The econoic situatin of Madagascar went even worse since the beginning of the political crisis.





The political struggle in Madagascar is worrying, as the high level of violence in an usual peaceful nation illustrates it. We don't really know Mr Rajoealani's projects. Indeed, for some people, it seems that Rajeolani is following th e same path as Ravalomanana. Another dictator (backed up by "political heavyweights from teh country's past") should replace the actual one ? MAdagascar political instability highlights some wrong choices of past and present history. Indeed, one cause of the hard situation could colonialism and the way in which the country was decolonised. It seems like there is still a kind of neocolonialism link with France, as "
former colonial power France has also been trying to use its influence". It also highlights the difference between the "rich" and "poor" countries and globalisation effects. It seems that Madagascar's economic situation didn't really improve despite foreign investments. Globalisation could be seen as weakening economies which are already in a "bad shape". However, it can also be argued that the situation depends on the person who's got power. If Ravalomanana hadn't served his own interest, foreign investents might have helped the population. It is quit difficult to distinguish "rich" and former colonial powers fault from the one of the inhabitants of the country. Both are closely linked and mixed, and often result from "wrong choices" made by politicians. The past can't really be "re-modeled", so it is the present situation that should been handled. The only hope is that not too many people die for that.


http://news.bbc.co.uk/2/hi/africa/7935682.stm






jeudi 12 mars 2009

La corée du Nord a planifié un lancement d'un satellite pour le moins douteux...

Il y a peu de temps, la Corée du Nord a émi la planification d'un lancement de satellite de télécommunication. Aucune date n'a été fixée, mais d'après le ministre des transport sud Coréen, le tir devrait avoir lieu au alentour du 15 avril, date anniversaire de la fondation de la Corée du Nord par Kim Il Sung. L'état proclame que ce lancement n'a aucune fin militaire, il va s'en dire que les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud sont sous tension. En effet, déjà en 1998, le regime communiste avait lancé un missile balistique en direction du Japon. Heureusement, le projectile a survolé le pays et a fini sa course dans L'Océan Pacifique. Il y a très peu de différence entre le lancement d'un missile longue portée et d'un satellite d'un point de vue technique. L'ONU se méfit des propos tenu et le Japon n'hésitera pas à détruire quelquonque fusée qui traverserait l'île. Seulement, une intervention dans le lancement ou la destruction du soit disant satellite fera l'objet d'une déclaration de guerre pour la Corée du Nord.

Ce lancement est à prendre avec le plus grand sérieux. Les trois pays mentionnés ont demandé à Pyongyang de stoper ce projet, car la Corée du Nord posséde l'arme nucléaire, et la peur est grandissante, surtout quand un pays de ce genre peut en faire usage. En plus de la possibilité qu'un missile soit lancé, la menace de guerre est d'autant plus importante.Mais s'il venait à découvrir les menaces que ce projet représente, toute aide apporté au pays pour retirer les installations nucléaire destinées à l'armement ainsi que d'autre subventions, les menaces risques de se faire dans l'autre sens. Depuis 2003, la Corée du Nord est en proie à de lourdes négociations pour enlever le nucléaire, en échange d'aides économiques et un gage de sécurité. Mais il est très peu probable que ceci soit pris en compte, étant donné que la Corée du Nord peut garantir sa propre sécurité avec sa propre armée... 
 

dimanche 8 mars 2009

Le premier ministre zimbabwéen victime d'un accident de voiture

(cet article pourrait vous aidez à comprendre un peu la situation, bien qu'il soit de février)

Vendredi dernier, le premier ministre Morgan Tsvangirai a été victime d'une collision entre son véhicule et un camion. L'accident lui a causé quelques blessures, mais sa femme n'en a pas réchappé, elle est morte sur le coup. Cet accident, qui pourrait n'être que le fruit d'un hasard funeste, divise encore plus le pays entre les deux parties politiques majeurs, le  MDC (Mouvement pour le changement démocratique, parti de Morgan Tsvangirai) et celui du président Robert Mugabe : L'Union nationale africaine du Zimbabwe-Front Patriotique. En effet, bien avant ce drame, le premier minisitre a été la cible de plusieurs tentatives d'assasinat, vraisemblablement, par son propre parti. Il est bon de rappeler qu'il était le rival du président Mugabe, à qui il a prêté serment de le servir en tant que premier ministre, poste autrefois inexistant. La thèse de l'assasinat des deux côtés ne semble pas inévitables. Il est peut être possible que le MDC, qui aurait perçu son leader comme un traitre, aie contribué à cet accident. Ou bien que Robert Mugabe, en tant qu'éternel rival, ne voulait l'éliminer. Une enquête a été ouverte, mais chaque parti fait en paralelle la sienne, pour essayer de dénoncer l'adversaire.

Ce "simple" accident de voiture montre bien à quel point le Zimbabwe est encore un pays fragile d'un point de vue diplomatique. Le peuple va en être aussi la victime, car la zizanie reignera encore. Les partisans du premier ministre denonceront ses adversaires, tandis que ces derniers clameront leur innocence. En guise de sécurité et d'apaisement, le président et sa femme sont venus à sont lit d'hôpital au Bostwana. L'international est aussi sous tension, car il ne sagit pas de laisser ce pays sombrer dans une possible guerre civil. L'Angleterre par exemple présente ses condoléances, mais cependant, surveille la situation au cas où elle déraperait. Le pays étant gravement touché par la crise et le choléra, cet accident ne fait qu'augmenter les tensions 

vendredi 6 mars 2009

Les atouts de la France .


(J'ai trouver cet article très intéressant dans le numéro de cette semaine du "Point" (n° 1903), mais je n'ai pas réussi à trouver le lien sur internet ... L'article étant très long, je le diviserai en plusieurs article sur le blog pour permettre à tout le monde de tout lire sans se perdre =) .)

   La crise économique actuelle affecte toutes les puissances économiques Européennes, même la France. Cependant, cette crise permet aussi de repérer quels sont les  nombreux atouts de la France par rapport aux autres pays, et pourquoi la France devrait devenir, à l'horizon 2035, la première puissance économique Européenne.

1 - Des enfants par milliers :     En effet, avec un taux de fécondité de 2 enfants par femme et 884 000 naissances en 2008, la France compte désormais plus de 64 millions d'habitants, chiffre prévu pour l'année 2015 ! La France représente près de 65 % de la croissance naturelle Européenne. Ainsi, dans une vingtaine d'années, la France sera le pays le plus peuplé d'Europe.
Avantages : Plus d'influcence car plus nombreux, constructions de logements, croissance du marché intérieur qui reste le principal moteur de la croissance française...

2 - L'indépendance énergétique :     Quatre des plus grands groupes leaders dans l'énergie sont français : Areva, EDF, GDF-Suez et Total. Grâce à son parc de réacteurs, la France atteint un taux d'indépendance énergétique supérieur à 50%, moins que les USA, mais plus que l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie ou encore le Japon. Le choix du nucléaire s'est révélé être un pari totalement adapté au monde de demain. De plus, la France dispose du deuxième parc hydorélectrique Européen, après celui de la Norvège, et le deuxième potentiel de vent après le Royaume-Uni.

3 - Un réseau de transports moderne :   Premièrement, concernant le traffic aérien, l'aéroport Paris CDG est désormais le 6e aéroport mondial, et le deuxième Européen concernant le transport du fret. De plus, contrairement à d'autres grands aéroports européens, CDG dispose encore de larges espaces pour s'agrandir.  Ensuite, avec 955 000 kilomètres de routes (troisième mondial pour km/hab), la France dispose surtout d'un des réseaux routiers les moins encombrés. Enfin, sur le plan ferroviaire,  le traffic à grande vitesse français représente la moitié du traffic européen. Tous ces réseaux sont surtout liés à l'excellence des entreprises françaises, l'industrie ferroviaire étant représenté par Alstom, leader mondial devant Bombardier et Siemens, et les BTP par Bouygues, Vinci et Eiffage, respectivement premier, deuxième et troisième mondiaux.


   (aéroport Paris Roissy CDG)




Ces trois premiers atouts montrent en effet que la France dispose encore de capacités formidables pour se relever de cette crise, mais aussi d'assurer son statut de puissance Européenne et mondiale dans les années à venir. Il est important que tout le monde est conscience de ces atouts, surtout le gourvernement français, car ces capacités devraient être utilisées et valorisées dès maintenant pour assurer à la France son influence en Europe et sa croissance économique.

samedi 14 février 2009

G7 , no financial protectionism

US, UK, Japan, Germany, France, Italy and Canada (G7) met in Italy to talk about the global economic crisis. Three main points were agreed. Stabilising world economy and financial markets would be their priority, they want to reform the IMF, and avoid protectionism as barriers to free trade would make the stuation even worse. The following points were also debated :
  • Praise for recent economic moves by China;
  • Help for banks; and
  • The need for a speedy end to the Doha talks on world trade
In another article quoted later on (cf Le Monde), they say that they would support and boost growth and employment as well as strengthen financial sector. A "bad bank" has also been proposed in order to keep the banks' "toxic buoyant" (actifs toxiques).

This meeting is seen as "a stepping stone" for a next meeting in London in April of G20.

This article isn't really precise about the decisions taken by G7. Another article on Le Monde isn't very precise, neither, although it gives further information. Does that mean that G7 didn't manage to really take decisions about the global economic crisis ?
However, one thing is clear; the "era" where the economic system should change and that liberalism should let the place to another kind of economic system and concept hasn't come yet. Indeed, after the economic crisis, it has been heard a lot that the economic system would change and that the crisis was a good lesson for liberalism. People thought that another economic system would be put instead of liberalism. The conclusion to avoid protectionism made by G7 contradicts this idea. I don't know if raising barriers to free trade would worsen the situation because every country would become withdrawn, or if it could help the situation by avoiding such dependence between all the countries. Analysts in G7 seem to believe that barriers would worsen the downturn.
And you, what do you think ?

mercredi 11 février 2009

Une fois l'Irak liberée, il reste l'Afghanistan...

Voici en quelque sorte la suite de l'article du dessous. En effet, les elections ont eu lieu en Irak, et chose étonnante, il n'y a pas eu besoin d'intervention de l'armée. Tout c'est déroulé dans le calme. Le dépouillement a annoncé que le candidat Nouri Al-Maliki a été nommé au pouvoir (je vous invite à lire cet article du Monde pour plus d'informations sur ce personnage). C'est donc une bonne nouvelle, car c'est apriori le seul qui aurait des affinités avec les Etats-Unis et le Pakistan. Le pays une fois mis en sécurité, Obama pourra donc effectuer son plan de retrait des troupes qui s'étalera sur seize mois. Il ne reste donc que l'affaire Afghanne. Au passage, 30 000 hommes viendront prêter main forte aux 36 000 déjà sur place. Mais le président préfère rester prudent avec cette guerre, car il voudrait établir une stratégie qui puisse être comprise par les américains ainsi que les autres participants au conflit. Aussi, on y retrouve la même instabilité politique. En effet, le gouvernement proaméricain Karzaï se voit menacer par les talibans. Il est donc nécessaire de contenir cette monté de l'extremisme. Mais la partie est difficile, l'attaque de ce matin sur une colone de chars français et afghans (ces derniers étaient en formation) montre qu'ils sont organisés, et aussi l'attaque contre le ministère de la défense qui aura fait 26 morts révèle qu'ils sont prêts à tout pour renverser le gouvernement et prendre le pouvoir.


La situation se mêle de joie et de doute. La venue de Maliki permettrait de rétablir les liens entre l'Irak et les Etats-Unis. Le gouvernement américain s'inspire des événements passés en Irak pour mieu réagir en Afghanistan. Déjà 30 milliards de dollars ont été employé comme aide à la reconstruction du pays mais le prêt risque de s'arrêter là. En Irak, 51 millards ont été utilisé à des fins non connus, et pour éviter que celà se renouvelle, les Etats-Unis restent prudent. Mais la présence américaine est tout de même synonime de sécurtité car, (et j'emploie encore cet exemple récurant...) sans cette intervention aérienne rapide, les soldats français et afghans auraient subis de plus lourde perte...

Les Etats-Unis sur deux fronts

L'héritage que Bush laisse à Obama n'a pas grand chose à envier. Il lui lègue deux guerres (en Irak et en Afghanistan) ainsi qu'un pays en crise. La tache est déjà bien difficile à résoudre. Déjà 825 milliards de dollars ont été injecté pour "stimuler l'économie". Barack Obama avait promit dans sa campagne de retirer les troupes d'Irak (à peu près 140 000 hommes), mais cette action à un coût, et la situation politique est encore trop instable pour que les américains ne laissent les rennes du gouvernement à des politiciens corrompus. Il y a le même problême en Afghanistan, où l'Oncle Sam n'a pas encore assez d'influence pour y imposer ses règles. Le pays déchiré par les talibans montre une menace pour le maintien de la paix. Le Canada, la France et le Royaume-uni sont sur place, et tentent tant bien que mal d'établir la sécurité dans la capitale et les provinces (malheureusement, un officer français est mort ce matin, lors d'une patrouille qu'ils effectuaient. Sont unité de char a été prise en étau par des insurgés, qui les ont attaqué à coup de roquettes). Les Etats-Unis ayant le projet de renforcer leurs troupes de 30 000 milles hommes, font face à un dilemne. Soit ils attendent le resulat des éléctions irakiennes pour ensuite retirer leurs troupes, ou poursuivre le conflit en Afghanistan. Cependant, il leur est impossible, autant pour des raisons économiques qu'humaines, de continuer de faire la guerre sur deux fronts.


Le conflit en Afghanistan est sujet à de nombreuses interrogations. En effet, les raisons et le but de cette guerre ne sont pas très claires, et c'est ce qui gène le plus les américains. Réunis au Pentagone, le président Obama ainsi que ses généraux et ministre de la défense Robert Gate ont discuté sur les stratégies et décisions à prendre. Trois grandes questions se posent : faut-il continuer et abattre toutes les cellules d'al-Quaïda ? faut-il au contraire aider la mise en place d'un gouvernement stable ? ou bien faut-il simplement proposer une aide au developpement (construction de routes, ponts etc...)? Mais elles ont toutes les trois des contraintes. Poursuivre le conflit signifierait qu'il faudrait venir en aide au Pakistan qui lutte contre les djihadistes, et qui a déjà laisser 2000 morts. Mettre en place un nouveau gouvernement risquerait d'emplifier la guerre, et la solution humanitaire ne pourra pas être possible avant longtemps, notamment pour cause financière. Maintenant, les gouvernants doivent être en mesure de faire le bon choix et éviter de foncer tête baissée dans une lutte où ils ne verraient pas la fin...  

dimanche 8 février 2009

Moscow denies to violate Human Rights

On the 4th of February, Russia has, at last, accepted to be examined by the UN (Examen Periodique Universel, EPU) about the respect of Human Rights in its country.
It appears there is a very huge gap between what the state says about the respect of Human Rights and the reality highlited by NGOs and the UN. Indeed, the Russian ministery of Justice said that Russia had improved in the field of Human Rights and that, I quote, "any case of harassment, repression or violence by State institutions or power against journalists have ever been done". Russia kept this argumentation during the all session, which spread an atmosphere of irrealism and "a big cold in the room". Many evidences prooving the inverse and two representants of repressed NGOs being there.
For example in 2008, two news editor were beaten up almost to death, an intern killed as well as a lawyer defeding Human Rights.



I knew that Russia didn't respect Human Rights, but nobody really talks about it, and so I didn't really "care" (if I can say that). But now that this has been highlited in the newspaper, although it isn't on the front pages, I would like to know more about UN sanctions. The article doesn't mention it. I find this deliberate denying attitude in front of the UN very chocking whereas everybody knows that there are evidences. It would be in favor of Russia to aknowledge the facts and try with the UN to improve the situation. After all, it belongs to the security council ! What made me "laugh" in the article too is that "La Russie annoncera en juin celles qu'elle juge "acceptables"". I don't know many things about international law, but I don't understand why Russia should agree on the sanctions or "recommandations" that the UN thinks necessary (did I misunderstand the article?).
I spoke my mind, maybe not in a diplomatic way, but I think that problems linked with Human Rights should be taken into account very seriously and I dislike the fact that "big or important countries" have the power to avoid sanctions when they don't respect them sometimes. Of course, I think I can understand the difficulty for the UN to manage to make the countries respect Human Rights without provoking international clashes, but even so...

Let me know what you think.

La "Déesse" de Citroën

  Alors que le secteur automobile subit la crise économique, Citroën se lance un pari fou: lancer dès 2010 une nouvelle série de véhicules "haut de gamme" sur le marché, dont le label ne sera autre que "DS" (voiture mythique chez Citroën).

En effet, la DS (dont la production s'est arrêté en 1975) a laisser une telle bonne impression que la marque aux deux chevrons pari sur elle pour relancer sa croissance. La nouvelle gamme DS sera divisée en trois véhicules, la DS3, la DS4 et la DS5 (respectivement citadine, compacte et routière), dont la DS3 sera le premier modèle à sortir en 2010. Cette nouvelle est très bien acceuillie en France car la production de ces nouveaux modèles sera assurée dans des usines françaises de PSA (à Poissy et à Mulhouse).

Cependant, le label et le toit blanc sont les seules ressemblances avec l'ancienne voiture de Citroën: en effet, la marque indique que, contrairement à d'autres constructeurs automobiles (tel que Fiat avec la 500, ou BMW avec la mini), son but n'est pas de remettre la DS au goût du jour, mais d'utiliser son prestige pour pouvoir relancer les ventes. 

Grâce à ce nouveau projet, il est désormais possible d'établir la stratégie de Citroën, qui est de monter en gamme et concurrencer les marques automobiles allemandes tout en ayant des voitures moins-cher, contrairement à Renault qui, au travers de Dacia, place ses espoirs dans le "low-cost".

  (La DS3)

  L'utilisation du label DS n'est qu'un moyen parmis d'autres pour permettre à Citroën de pouvoir renouveller son image. En effet, Citroën se lance aujourd'hui dans une métamorphose totale: changement de logo (plus arrondi, en 3D), de signature publicitaire ("Citroën, Créative Technologie"), amélioration des concessions et surtout du site internet. Le but de Citroën est certainement de se moderniser pour pouvoir se relancer, en France certes, mais surtout à l'international, ou la marque souffre d'une image négative qui pose souvent un frein sur ses ventes. PSA, au travers de Citroën, place désormais tous ses espoirs sur ce "plan de modernisation" qui va certainement, selon ses effets positifs ou négatifs, décider de l'avenir du groupe, si celui-ci peut continuer tout seul ou s'il va devoir s'associer avec un autre constructeur automobile. Car, bien que PSA soit le 2ème groupe européen et le 7ème mondial, la concurrence de ces 5 prochaines années promet d'être rude...


dimanche 25 janvier 2009

Le divorce d'un couple franco-allemand


Le groupe allemand Siemens va dévoiler mardi prochain, au cours de son assemblée générale, sa sortie du capital d'Areva NP, une filiale du groupe nucléaire français. Cette décision est une surprise totale car Siemens essaye, au contraire, de renforcer sa position dans le capital d'Areva NP depuis plusieurs années.

Selon le pacte qui lie les deux entreprises, Siemens ne pouvait se séparer de ses parts d'Areva qu'à partir de 2009 (Siemens possède environ 34% d'Areva). Le total désengagement ne sera établit qu'en 2012.
Ce désengagement totalement imprévu (en effet, selon sa filiale française, Siemens était prêt à investir plusieurs milliards d'euros dans Areva) est principalement du au fait que le groupe n'a jamais vraiment obtenu un accord de Paris pour augmenter sa participation. Le groupe préfère donc se retirer maintenant plutôt qu'investir mais finalement ne jamais obtenir de parts suffisantes dans le groupe nucléaire.
La rupture du contrat engage Areva à racheter ses parts, mais interdit aussi à Siemens de faire concurrence à Areva sur ses métiers nucléaires. Le gouvernement allemand aurait appelé l'Elysée pour revoir cette clause, car l'enjeu est évidemment stratégique pour Siemens, dont certains pensent qu'il se tournerait vers un autre groupe russe.
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Ce divorce marque un tournant pour Areva, dont le sort est discuté depuis plusieurs années. En effet, de nombreux analystes imagine parfaitement un champion français crée par le mariage entre Alstom et Areva, ou encore Areva et Total. Cependant, Anne Lauvergeon, dirigeante d'Areva, plaide depuis toujours pour une ouverture du capital de l'entreprise, qui va désormais avoir un besoin de financement après ce divorce. Peut importe l'évolution de la situation , Areva, en qui les marchés ont une entière confiance, va ressortir certainement plus grand et plus puissant après ce divorce. Cependant, ce divorce nous montre aussi les défaillances du célèbre couple franco-allemand, célèbre désormais par les déboires de ses alliances plutôt que par ses succès...




samedi 24 janvier 2009

Italy, migrants complain about the bad conditions of detention

Saturday morning, Italy, Lampedusa island

About 700 illegal immigrants had broken out of the detention centre and were staging protest in town. They were complaining about the bad living conditions of the centre which is normally built to contain 850 persons but which actually grants 1,800 immigrants. Some of them had had to sleep outside because of the lack of place. The immigrants as well as the local residents also complain about the government's plans to open a new centre for Identification and Expulsion. The local residents fear "it would become a sort of prison".
Before, the landing immigrants asking for asylum were sent to the Italian mainland, but now, according to a new policy, they are kept on the island and if they don't pass the immigration checks, are sent back to their country.
In 2008, 31,700 immigrants have landed on the island (increase of 75% from 2007). They often escape from poverty and armed conflicts in Somalia or Eritrea.

Immigration is an important issue. A lot of people are fleeing overseas to escape from poverty or wars, and according to me, you can't just send them back to a certain death. It's morally inacepatble. On the other hand, I can understand that it's complicated for governments to grant everybody because the country would be overcrowed and it would lead to bad living conditions. What I'm saying here are big "clichés" in a certain way and this issue needs more details. I don't have the solution about the immigration problem, although I think if the "big powers" helped more to end conflicts (and corrupted governments) as well as economically speaking the countries of origin, people would not be willing to leave them. Indeed, it's a big and difficult task, but I think it would be possible in a certain mesure (by stopping selling weapons for example).
But to go back to the article, human rights should be respected and so good living conditions should be reached even in a detention centre. For the moment I think other centres should be built (but in another way than Italian government is doing now for example because even local residents fear it would become a sort of prison), maybe in association with "ONG" if the government alone can't afford the cost. I don't have a lot of informations or ideas about it, but that's a subject I'm going to treat (PEJ 2009), so I would complete my analysis once I returned from this manifestation.

mardi 20 janvier 2009

BMW may receive help from the state

BMW is also touched by the crisis which Chrysler/General Motor have suffered, because the general demand went down. Indeed, dealers don't sell all of their cars, which is repercuted to the financal system of BMW. No more incomes. As a financal aid, the State, concerned with the unemployment rate which could rise because of the lack of sales, decided to give handouts to the company, so that it could boost their financal sector and help it to find solutions to solve the problem, and also to German buyers, who remplace their old car (nine years or more) by a new one. 

For the anecdote, the demand has slowed down because of the high price of oil (which had been and we hope it won't go up to high...), the high oil consommation of American cars. This could be applied to German cars, but we can argue in contrary of it. In fact, the problem is that now car is seen as a machine which pollutes. That's true but if we take only the pleasure to drive, it takes an other point of view. BMW's cars are high rank cars with a great mecanic, interior and very well constructed (this is applied to almost all German companies, especially for Mercedes and Porsche whose cars are only built in Germany). This is BMW's goal : to target and satisfy costumers who have the means to buy their cars and who like good mecanic. If the state for example wants to restrain the number of these cars under the pretex that it polutes, these consumers would disagree. This is what is happening in Russia : the government stopped exporting German cars to relaunch Lada, the only Russian car company. But Lada doesn't do good mecanic and might pollute much more than a BMW because it is bad quality, and also, all consummers who already have a BMW would automatically refuse to buy Lada.  So, to stop high cars to be built would resume to lay off lots of high qualified workers, which would make the "croissance" going down, and also the loss of a "savoir-faire" which is special to German companies.