samedi 14 février 2009

G7 , no financial protectionism

US, UK, Japan, Germany, France, Italy and Canada (G7) met in Italy to talk about the global economic crisis. Three main points were agreed. Stabilising world economy and financial markets would be their priority, they want to reform the IMF, and avoid protectionism as barriers to free trade would make the stuation even worse. The following points were also debated :
  • Praise for recent economic moves by China;
  • Help for banks; and
  • The need for a speedy end to the Doha talks on world trade
In another article quoted later on (cf Le Monde), they say that they would support and boost growth and employment as well as strengthen financial sector. A "bad bank" has also been proposed in order to keep the banks' "toxic buoyant" (actifs toxiques).

This meeting is seen as "a stepping stone" for a next meeting in London in April of G20.

This article isn't really precise about the decisions taken by G7. Another article on Le Monde isn't very precise, neither, although it gives further information. Does that mean that G7 didn't manage to really take decisions about the global economic crisis ?
However, one thing is clear; the "era" where the economic system should change and that liberalism should let the place to another kind of economic system and concept hasn't come yet. Indeed, after the economic crisis, it has been heard a lot that the economic system would change and that the crisis was a good lesson for liberalism. People thought that another economic system would be put instead of liberalism. The conclusion to avoid protectionism made by G7 contradicts this idea. I don't know if raising barriers to free trade would worsen the situation because every country would become withdrawn, or if it could help the situation by avoiding such dependence between all the countries. Analysts in G7 seem to believe that barriers would worsen the downturn.
And you, what do you think ?

mercredi 11 février 2009

Une fois l'Irak liberée, il reste l'Afghanistan...

Voici en quelque sorte la suite de l'article du dessous. En effet, les elections ont eu lieu en Irak, et chose étonnante, il n'y a pas eu besoin d'intervention de l'armée. Tout c'est déroulé dans le calme. Le dépouillement a annoncé que le candidat Nouri Al-Maliki a été nommé au pouvoir (je vous invite à lire cet article du Monde pour plus d'informations sur ce personnage). C'est donc une bonne nouvelle, car c'est apriori le seul qui aurait des affinités avec les Etats-Unis et le Pakistan. Le pays une fois mis en sécurité, Obama pourra donc effectuer son plan de retrait des troupes qui s'étalera sur seize mois. Il ne reste donc que l'affaire Afghanne. Au passage, 30 000 hommes viendront prêter main forte aux 36 000 déjà sur place. Mais le président préfère rester prudent avec cette guerre, car il voudrait établir une stratégie qui puisse être comprise par les américains ainsi que les autres participants au conflit. Aussi, on y retrouve la même instabilité politique. En effet, le gouvernement proaméricain Karzaï se voit menacer par les talibans. Il est donc nécessaire de contenir cette monté de l'extremisme. Mais la partie est difficile, l'attaque de ce matin sur une colone de chars français et afghans (ces derniers étaient en formation) montre qu'ils sont organisés, et aussi l'attaque contre le ministère de la défense qui aura fait 26 morts révèle qu'ils sont prêts à tout pour renverser le gouvernement et prendre le pouvoir.


La situation se mêle de joie et de doute. La venue de Maliki permettrait de rétablir les liens entre l'Irak et les Etats-Unis. Le gouvernement américain s'inspire des événements passés en Irak pour mieu réagir en Afghanistan. Déjà 30 milliards de dollars ont été employé comme aide à la reconstruction du pays mais le prêt risque de s'arrêter là. En Irak, 51 millards ont été utilisé à des fins non connus, et pour éviter que celà se renouvelle, les Etats-Unis restent prudent. Mais la présence américaine est tout de même synonime de sécurtité car, (et j'emploie encore cet exemple récurant...) sans cette intervention aérienne rapide, les soldats français et afghans auraient subis de plus lourde perte...

Les Etats-Unis sur deux fronts

L'héritage que Bush laisse à Obama n'a pas grand chose à envier. Il lui lègue deux guerres (en Irak et en Afghanistan) ainsi qu'un pays en crise. La tache est déjà bien difficile à résoudre. Déjà 825 milliards de dollars ont été injecté pour "stimuler l'économie". Barack Obama avait promit dans sa campagne de retirer les troupes d'Irak (à peu près 140 000 hommes), mais cette action à un coût, et la situation politique est encore trop instable pour que les américains ne laissent les rennes du gouvernement à des politiciens corrompus. Il y a le même problême en Afghanistan, où l'Oncle Sam n'a pas encore assez d'influence pour y imposer ses règles. Le pays déchiré par les talibans montre une menace pour le maintien de la paix. Le Canada, la France et le Royaume-uni sont sur place, et tentent tant bien que mal d'établir la sécurité dans la capitale et les provinces (malheureusement, un officer français est mort ce matin, lors d'une patrouille qu'ils effectuaient. Sont unité de char a été prise en étau par des insurgés, qui les ont attaqué à coup de roquettes). Les Etats-Unis ayant le projet de renforcer leurs troupes de 30 000 milles hommes, font face à un dilemne. Soit ils attendent le resulat des éléctions irakiennes pour ensuite retirer leurs troupes, ou poursuivre le conflit en Afghanistan. Cependant, il leur est impossible, autant pour des raisons économiques qu'humaines, de continuer de faire la guerre sur deux fronts.


Le conflit en Afghanistan est sujet à de nombreuses interrogations. En effet, les raisons et le but de cette guerre ne sont pas très claires, et c'est ce qui gène le plus les américains. Réunis au Pentagone, le président Obama ainsi que ses généraux et ministre de la défense Robert Gate ont discuté sur les stratégies et décisions à prendre. Trois grandes questions se posent : faut-il continuer et abattre toutes les cellules d'al-Quaïda ? faut-il au contraire aider la mise en place d'un gouvernement stable ? ou bien faut-il simplement proposer une aide au developpement (construction de routes, ponts etc...)? Mais elles ont toutes les trois des contraintes. Poursuivre le conflit signifierait qu'il faudrait venir en aide au Pakistan qui lutte contre les djihadistes, et qui a déjà laisser 2000 morts. Mettre en place un nouveau gouvernement risquerait d'emplifier la guerre, et la solution humanitaire ne pourra pas être possible avant longtemps, notamment pour cause financière. Maintenant, les gouvernants doivent être en mesure de faire le bon choix et éviter de foncer tête baissée dans une lutte où ils ne verraient pas la fin...  

dimanche 8 février 2009

Moscow denies to violate Human Rights

On the 4th of February, Russia has, at last, accepted to be examined by the UN (Examen Periodique Universel, EPU) about the respect of Human Rights in its country.
It appears there is a very huge gap between what the state says about the respect of Human Rights and the reality highlited by NGOs and the UN. Indeed, the Russian ministery of Justice said that Russia had improved in the field of Human Rights and that, I quote, "any case of harassment, repression or violence by State institutions or power against journalists have ever been done". Russia kept this argumentation during the all session, which spread an atmosphere of irrealism and "a big cold in the room". Many evidences prooving the inverse and two representants of repressed NGOs being there.
For example in 2008, two news editor were beaten up almost to death, an intern killed as well as a lawyer defeding Human Rights.



I knew that Russia didn't respect Human Rights, but nobody really talks about it, and so I didn't really "care" (if I can say that). But now that this has been highlited in the newspaper, although it isn't on the front pages, I would like to know more about UN sanctions. The article doesn't mention it. I find this deliberate denying attitude in front of the UN very chocking whereas everybody knows that there are evidences. It would be in favor of Russia to aknowledge the facts and try with the UN to improve the situation. After all, it belongs to the security council ! What made me "laugh" in the article too is that "La Russie annoncera en juin celles qu'elle juge "acceptables"". I don't know many things about international law, but I don't understand why Russia should agree on the sanctions or "recommandations" that the UN thinks necessary (did I misunderstand the article?).
I spoke my mind, maybe not in a diplomatic way, but I think that problems linked with Human Rights should be taken into account very seriously and I dislike the fact that "big or important countries" have the power to avoid sanctions when they don't respect them sometimes. Of course, I think I can understand the difficulty for the UN to manage to make the countries respect Human Rights without provoking international clashes, but even so...

Let me know what you think.

La "Déesse" de Citroën

  Alors que le secteur automobile subit la crise économique, Citroën se lance un pari fou: lancer dès 2010 une nouvelle série de véhicules "haut de gamme" sur le marché, dont le label ne sera autre que "DS" (voiture mythique chez Citroën).

En effet, la DS (dont la production s'est arrêté en 1975) a laisser une telle bonne impression que la marque aux deux chevrons pari sur elle pour relancer sa croissance. La nouvelle gamme DS sera divisée en trois véhicules, la DS3, la DS4 et la DS5 (respectivement citadine, compacte et routière), dont la DS3 sera le premier modèle à sortir en 2010. Cette nouvelle est très bien acceuillie en France car la production de ces nouveaux modèles sera assurée dans des usines françaises de PSA (à Poissy et à Mulhouse).

Cependant, le label et le toit blanc sont les seules ressemblances avec l'ancienne voiture de Citroën: en effet, la marque indique que, contrairement à d'autres constructeurs automobiles (tel que Fiat avec la 500, ou BMW avec la mini), son but n'est pas de remettre la DS au goût du jour, mais d'utiliser son prestige pour pouvoir relancer les ventes. 

Grâce à ce nouveau projet, il est désormais possible d'établir la stratégie de Citroën, qui est de monter en gamme et concurrencer les marques automobiles allemandes tout en ayant des voitures moins-cher, contrairement à Renault qui, au travers de Dacia, place ses espoirs dans le "low-cost".

  (La DS3)

  L'utilisation du label DS n'est qu'un moyen parmis d'autres pour permettre à Citroën de pouvoir renouveller son image. En effet, Citroën se lance aujourd'hui dans une métamorphose totale: changement de logo (plus arrondi, en 3D), de signature publicitaire ("Citroën, Créative Technologie"), amélioration des concessions et surtout du site internet. Le but de Citroën est certainement de se moderniser pour pouvoir se relancer, en France certes, mais surtout à l'international, ou la marque souffre d'une image négative qui pose souvent un frein sur ses ventes. PSA, au travers de Citroën, place désormais tous ses espoirs sur ce "plan de modernisation" qui va certainement, selon ses effets positifs ou négatifs, décider de l'avenir du groupe, si celui-ci peut continuer tout seul ou s'il va devoir s'associer avec un autre constructeur automobile. Car, bien que PSA soit le 2ème groupe européen et le 7ème mondial, la concurrence de ces 5 prochaines années promet d'être rude...