L'héritage que Bush laisse à Obama n'a pas grand chose à envier. Il lui lègue
deux guerres (en
Irak et en
Afghanistan) ainsi qu'un pays en
crise. La tache est
déjà bien difficile à résoudre. Déjà
825 milliards de dollars ont été injecté pour
"stimuler l'économie". Barack Obama avait promit dans sa campagne de
retirer les troupes d'Irak (à peu près
140 000 hommes), mais cette action à un
coût, et la situation politique est encore trop
instable pour que les américains ne laissent les rennes du gouvernement à des
politiciens corrompus. Il y a le même problême en Afghanistan, où l'Oncle Sam n'a pas encore assez d'influence pour y imposer ses règles. Le pays déchiré par les
talibans montre une menace pour le
maintien de la paix. Le Canada, la France et le Royaume-uni sont sur place, et tentent tant bien que mal
d'établir la sécurité dans la capitale et les provinces (malheureusement, un officer français est mort ce matin, lors d'une patrouille qu'ils effectuaient. Sont unité de char a été prise en étau par des insurgés, qui les ont attaqué à coup de roquettes). Les Etats-Unis ayant le projet de
renforcer leurs troupes de
30 000 milles hommes, font face à un
dilemne. Soit ils attendent le
resulat des éléctions irakiennes pour ensuite retirer leurs troupes, ou
poursuivre le conflit en Afghanistan. Cependant, il leur est impossible, autant pour des
raisons économiques qu'humaines, de continuer de
faire la guerre sur deux fronts.
Le conflit en Afghanistan est sujet à de nombreuses interrogations. En effet, les raisons et le but de cette guerre ne sont pas très claires, et c'est ce qui gène le plus les américains. Réunis au Pentagone, le président Obama ainsi que ses généraux et ministre de la défense Robert Gate ont discuté sur les stratégies et décisions à prendre. Trois grandes questions se posent : faut-il continuer et abattre toutes les cellules d'al-Quaïda ? faut-il au contraire aider la mise en place d'un gouvernement stable ? ou bien faut-il simplement proposer une aide au developpement (construction de routes, ponts etc...)? Mais elles ont toutes les trois des contraintes. Poursuivre le conflit signifierait qu'il faudrait venir en aide au Pakistan qui lutte contre les djihadistes, et qui a déjà laisser 2000 morts. Mettre en place un nouveau gouvernement risquerait d'emplifier la guerre, et la solution humanitaire ne pourra pas être possible avant longtemps, notamment pour cause financière. Maintenant, les gouvernants doivent être en mesure de faire le bon choix et éviter de foncer tête baissée dans une lutte où ils ne verraient pas la fin...